9 - La naissance de Pénélope

Une nouvelle journée se leva sur Willow Creek,

John pris une douche énergisante avant de se rendre à l'école pour obtenir de meilleures notes.

Gavin était redevenu attentionné après l'épisode glacial de la fois dernière. Il soulageait mon dos qui me faisait extrêmement mal comme toujours lors de mes grossesses.

Et touchait mon ventre pour sentir le bébé.

D'ailleurs, il s'excusa de son comportement si froid en me rappelant qu'il m'aimait et qu'il avait paniqué du fait du manque d'argent. Mais que tout allait mieux car il avait pu vendre quelques livres à des maisons d'éditions et touchait dorénavant dans les 400 simflouz par jour. Ses livres faisaient un tabac auprès des enfants du monde sims entier.

Il ajouta que lorsqu'il n'irait pas bien, plutôt que d'avoir une attitude étrange avec sa famille, qu'il lirait pour contrôler ses émotions.

Et moi comme je m'ennuyais un peu, je jardinais à mon domicile. Je ne tenais pas à ce que les sims sur les terrains communautaires me revoient enceinte à gérer mes soucis de vessie. Les ragots allaient vite dans les petites villes.

Gavin me surveillait, et me disait d'arrêter que j'étais au troisième trimestre de ma grossesse, que le bébé allait bientôt pointer le bout de son nez et que je devais me reposer. Son changement d'attitude était radical.

 Effectivement, il n'avait pas tord. La séance de jardinage me causa encore des douleurs lombaires.

J'allai alors me reposer sur le lit de John et passai du temps avec lui pendant qu'il dessinait sur sa table d'activités.

Pendant ce temps, Gavin jonglait entre bricolage et écriture.

Puis le soir venu, nous nous endormirent tous.

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Le lendemain,

Le seul objet de valeur à notre domicile tomba en panne. Gavin arriva néanmoins à le réparer. Il m'épatait de plus en plus.

Je souffrais encore de maux de dos.

Soudain je compris que le travail avait commencé. J'allais avoir mon bébé et pendant que j'avais des contractions, j'eus une soudaine envie de nettoyer le lavabo. Je ne su jamais ce qui se passa par dans ma tête ce jour là, mais celui-ci devait être propre avant que j'accouche. Ab-so-lu-ment !

Je me dirigeai dans la chambre de John car mes bébés dormiraient ensemble.

Les contractions se firent de plus en plus douloureuses.

 Et enfin, le moment tant attendu se produisit, je pu tenir mon bébé dans mes bras.

 C'était une fille. Je l'appelai Pénélope.

J'avais eu ma fille, j'étais si heureuse, ma descendance était assurée, et l'héritage de mon grand-père pourrait survivre sur quelques générations.

Gavin fut content de tenir Pénélope tout contre lui. Seul John ne vint pas, le petit boudait du fait de l'arrivée de sa soeur s'imaginant que ses parents ne ressentiraient plus un sentiment exclusif à son égard.

Super ! Après avoir géré une crise avec mon mari, je devais en gérer une avec mon fils qui n'acceptait pas la présence de sa soeur. Les jours à venir s'annonçaient radieux.